Le 08/07/11, 20:32
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Dire qu’Erland m’a donné rendez-vous à 6h30 du matin et qu’à 7h10, j’attends toujours dans la rue et dans le froid... C’est la parfaite illustration de l’expression « hora peruana », « heure péruvienne ».
Nous travaillons encore dans la région d’Urubamba. Mais comme « la pansa es primero » (« l’estomac compte avant tout », expression apprise au Mexique), avant de nous mettre au travail, nous faisons un bref passage obligé par le marché pour déguster un jus de fruit frais et une part de gâteau. Trop bon. Décidemment, le petit marché d’Urubamba à tout pour plaire.
Une fois rassasiés, nous prenons la route d’Ollantaytambo pour aller repérer un nouveau sentier qui aboutit sur des ruines incas récemment mises à jour à Coriwayrachina. La route qui mène au village est assez fréquentée car c’est également le point de départ du chemin de l’Inca, l’itinéraire qui mène au Machu Picchu en quatre jours de marche.
De nouveau, le parcours est intéressant. Seul bémol, la balade commence par un kilomètre de voie ferrée. Apparemment, je suis la seule à voir le danger de marcher sur une ligne de train en exploitation. Mais tous se rangent à mon avis, nous allons emprunter un autre chemin pour le retour. L’un des points forts du parcours par contre est le fait de pouvoir terminer l’excursion par un repas typique dans le petit restaurant de Bryan et sa maman. Bryan n’est autre qu’un des étudiants les plus prometteurs de Fico et il semble très intéressé par l’opportunité que pourrait lui offrir l’ouverture de ce circuit touristique. De mon côté, je ne doute pas du succès du restaurant. Le plat que nous sert la maman de Bryan est délicieux.
Nous nous pressons pour ne pas rentrer trop tard car ce soir le Pérou participe au premier tour de la Copa America. Je rejoints Marco pour suivre le match. Je ne le remarque pas dans un premier temps mais sous son manteau, il porte le maillot de l’équipe nationale. C’est du sérieux, on ne rigole pas avec le football. Le Pérou l’emportera sur le Mexique, 1-0.
Dire qu’Erland m’a donné rendez-vous à 6h30 du matin et qu’à 7h10, j’attends toujours dans la rue et dans le froid... C’est la parfaite illustration de l’expression « hora peruana », « heure péruvienne ».
Nous travaillons encore dans la région d’Urubamba. Mais comme « la pansa es primero » (« l’estomac compte avant tout », expression apprise au Mexique), avant de nous mettre au travail, nous faisons un bref passage obligé par le marché pour déguster un jus de fruit frais et une part de gâteau. Trop bon. Décidemment, le petit marché d’Urubamba à tout pour plaire.
Une fois rassasiés, nous prenons la route d’Ollantaytambo pour aller repérer un nouveau sentier qui aboutit sur des ruines incas récemment mises à jour à Coriwayrachina. La route qui mène au village est assez fréquentée car c’est également le point de départ du chemin de l’Inca, l’itinéraire qui mène au Machu Picchu en quatre jours de marche.
De nouveau, le parcours est intéressant. Seul bémol, la balade commence par un kilomètre de voie ferrée. Apparemment, je suis la seule à voir le danger de marcher sur une ligne de train en exploitation. Mais tous se rangent à mon avis, nous allons emprunter un autre chemin pour le retour. L’un des points forts du parcours par contre est le fait de pouvoir terminer l’excursion par un repas typique dans le petit restaurant de Bryan et sa maman. Bryan n’est autre qu’un des étudiants les plus prometteurs de Fico et il semble très intéressé par l’opportunité que pourrait lui offrir l’ouverture de ce circuit touristique. De mon côté, je ne doute pas du succès du restaurant. Le plat que nous sert la maman de Bryan est délicieux.
Nous nous pressons pour ne pas rentrer trop tard car ce soir le Pérou participe au premier tour de la Copa America. Je rejoints Marco pour suivre le match. Je ne le remarque pas dans un premier temps mais sous son manteau, il porte le maillot de l’équipe nationale. C’est du sérieux, on ne rigole pas avec le football. Le Pérou l’emportera sur le Mexique, 1-0.
