Le 27/07/12, 0:21
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Après 4 heures de traversée, nous sommes arrivés à Newhaven vers 8h30 heure locale. Pour être à l’heure à l’embarquement, la nuit fut très courte.
Notre première impression à la sortie du Ferrie est qu’ils parlent tous anglais et en plus ils roulent à contre sens (à gauche).
Alors nous avons essayé aussi de rouler à gauche. C’est marrant. Le plus rigolo c’est qu’on massacre la langue de Shakespeare sans que les anglais nous en veille.
Nous avons fait 62 km avec une rencontre exceptionnelle d’un Japonais (Toshihiko) qui travaille à Londres et rentrait de Paris à Londres à vélo par la même voie verte que nous. Il nous a rudement aidé pour faire nos 40 premiers km en Angleterre sur la voie verte. Une voie, très belle, mais quasiment infaisable sans GPS. Pour nous, il y a eu des côtes qu’on qualifierait d’inhumaines tellement elles étaient raides et longues.
Cela dit, le paysage est vraiment superbe. L’effort en vaut la peine.
Ce qui nous a le plus interpellé avec ce Japonais (Toshihiko), c’est que bien pressé de rentrer à Londres dans la journée, il a pris sur son temps pour nous montrer la route en roulant à notre vitesse (qui devait être une vitesse de tortue pour lui). Il nous accepté comme nous étions.
Pour les plus curieux, la petite pensée porte sur: « Dieu vous aime tel que vous êtes»https://www.enroutes.com/weblog_posting.php?mode=newentry&w=1399#
cliquez sur ce lien :
http://topchretien.jesus.net/touch/m_page.php?id=10459
Notre première impression à la sortie du Ferrie est qu’ils parlent tous anglais et en plus ils roulent à contre sens (à gauche).
Alors nous avons essayé aussi de rouler à gauche. C’est marrant. Le plus rigolo c’est qu’on massacre la langue de Shakespeare sans que les anglais nous en veille.
Nous avons fait 62 km avec une rencontre exceptionnelle d’un Japonais (Toshihiko) qui travaille à Londres et rentrait de Paris à Londres à vélo par la même voie verte que nous. Il nous a rudement aidé pour faire nos 40 premiers km en Angleterre sur la voie verte. Une voie, très belle, mais quasiment infaisable sans GPS. Pour nous, il y a eu des côtes qu’on qualifierait d’inhumaines tellement elles étaient raides et longues.
Cela dit, le paysage est vraiment superbe. L’effort en vaut la peine.
Ce qui nous a le plus interpellé avec ce Japonais (Toshihiko), c’est que bien pressé de rentrer à Londres dans la journée, il a pris sur son temps pour nous montrer la route en roulant à notre vitesse (qui devait être une vitesse de tortue pour lui). Il nous accepté comme nous étions.
Pour les plus curieux, la petite pensée porte sur: « Dieu vous aime tel que vous êtes»https://www.enroutes.com/weblog_posting.php?mode=newentry&w=1399#
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